Le chêne centenaire
Classé arbre remarquable, ce chêne quatre fois centenaire domine le plan d’eau. De nombreux oiseaux protégés viennent s’y réfugier.
Classé arbre remarquable, ce chêne quatre fois centenaire domine le plan d’eau. De nombreux oiseaux protégés viennent s’y réfugier.
Un étrange bassin du XIXe s’est endormi dans le potager. Sa conception originale avec ses margelles et sa profondeur permettent de penser que son usage n’était pas que décoratif.
Beaucoup de légendes sont racontées sur les puits du Vaumadeuc. Celui-ci a conservé sa niche où Saint Anne accompagne le visiteur. Sur la dalle de socle, des écritures sont lisibles lorsque les rayons du soleil les illuminent…
Saint Symphorien veille sur sa source et sur la collection de fougères inventoriées. Ce Saint martyre à 22 ans porte l’épée à terre, indiquant le refus de se battre et un rameau d’olivier, signe de paix. C’est le premier romain, né en France, baptisé. Il représente la jeunesse chrétienne.
La double allée cavalière a été plantée de hêtres à l’occasion de la venue du Président Pompidou, en 1972, au Vaumadeuc. Afin d’avoir un esthétique paysagère, les arbres avaient déjà pour la plupart 8 ou 10 ans. Depuis 2011, elle mène à l’arboretum expérimental européen.
Ce Tilleul, exceptionnel, a résisté à la tempête de 1987. Une taille douce a permis de remettre en valeur son houppier. C’est un endroit délicieux pour se reposer. Les bractées sont récoltées chaque été et séchées pour les infusions.
La Joubarbe est une plante très ancienne. Les Romains n’hésitaient pas à la poser sur leur toit pour éviter que la foudre ne frappe leur maison. Elle s’utilise aussi contre les orties.
« Martin des Senteurs » rosier rustique, odorant, remontant, créé, dans les années 1995, par Louis Martin, ancien Maire de Quévert, passionné de botanique. Il est à l’origine de « La Confrérie des Marieurs de Rose », « des Mordus de La Pomme »…
Cette porte secrète donnait accès au logis du Seigneur lorsqu’il visitait ses terres. Les usages et coutumes ne permettaient pas qu’il partage les mêmes lieux d’habitation que son propre régisseur. C’est ainsi que le manoir disposait de deux logis distincts séparé par un mur plein en intérieur
La cloche, situe à l’abri du vent, donne le rythme au manoir. Autrefois, elle sonnait à la tombée du jour pour informer ceux qui travaillait dans les champs de la fin de la journée et guider les voyageurs égarés vers un abri sûr et chaud.